Page:Mirbeau - Les Écrivains (deuxième série).djvu/161

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Il nous venait de ces deux nobles esprits une émulation puissante et le désir ardent de bien vivre et de mieux faire. Leurs cœurs nous étaient un sûr asile, et une hospitalité merveilleuse, que nous ne retrouverons plus.

Hélas ! nous les avons perdus, tous les deux ! Et avant que de parler d’eux comme notre tendresse, notre reconnaissance, notre admiration nous en feront un devoir, un devoir impérieux et doux, nous ne pouvons que les pleurer !…


1899.