Page:Mirbeau - Lettres de ma chaumière.djvu/143

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Je le vis qui s’était arrêté, à la haie prochaine. Il cueillit une branche de coudrier dont il se fit un bâton ; puis m’ayant envoyé un joyeux bonjour de la main, il galopa dans le chaume et disparut.

Pauvre enfant ! Peut-être a-t-il raison ! Et peut-être, autrement, serait-il devenu banquier, ou ministre !