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Page:Mirbeau - Sébastien Roch, 1890.djvu/259

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SÉBASTIEN ROCH

toute grande sa poitrine au couteau, et, calme, un peu plus pâle seulement, il articula :

— Tue-moi, si tu veux… Je n’irai pas !

Vaincu, dompté par ce regard d’enfant, M. Roch laissa retomber à terre le couteau et il s’enfuit.