quez jamais les millionnaires, mon brave homme… Ils sont indispensables au mécanisme social. Et s’il n’y avait plus de millionnaires… est-ce que vous trouveriez sur les trottoirs… des portefeuilles… comme celui-là ?… Continuez…
Alors… je me dis, en considérant ces deux sous qui n’avaient pas cours : « Mauvaise journée… sapristi ! Depuis trois semaines, je n’en ai pas eu une si mauvaise… Ah ! l’on a bien raison de prétendre que le commerce ne va pas… Et si c’est la faute aux Anglais… comme on l’assure, dans les journaux… »
Tout est la faute aux Anglais…
Sacrés Anglais, alors… que le diable les emporte !…
À la bonne heure !… vous êtes patriote… Mais au fait !… au fait !
J’y viens… Monsieur le commissaire… Sacrée hernie aussi…
Dépêchons… dépêchons !…
Voilà… J’habite place d’Anvers, Monsieur le commissaire de police… C’est loin… Je me décidai à rentrer