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Page:Mirbeau - Théâtre III.djvu/36

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J.-G. Courtin : Napoléon Ier charitable ; Perrin, 1888 ; 1 volume in-16. Baron J.-G. Courtin : La Charité sous le Consulat ; Perrin, 1890 ; 1 volume in-16. Baron J.-G. Courtin : La Question ouvrière ; Perrin, 1894 ; 2 volumes in-18. Baron J.-G. Courtin : La Charité ordonnée ; Perrin, 1896 ; 1 volume in-8. Baron J.-G. Courtin (insistant et saluant.), de l’Académie française : La Rue et l’Atelier ; Perrin, 1898. Baron J.-G. Courtin : Une Paria ; 1901. Baron J.-G. Courtin : Féminisme ouvrier, 1903.

Courtin, souriant.

C’est qu’il n’en oublie pas.

Biron

Oui, oui… (À Thérèse.) Il a une bonne mémoire. (À Courtin.) Il sait les titres.

D’Auberval

Et les idées… (À Biron.) Voulez-vous ?…

Biron, vivement.

Non… oh ! non !…

Courtin, réjoui.

On n’en dira jamais assez, mon cher enfant, sur notre petite ouvrière parisienne. (Biron se verse un verre de cognac et va s’asseoir à droite.) On n’en fera jamais assez pour réparer la plus choquante des injustices. Nulle part, la charité ne trouve plus l’occasion de s’exercer.

Thérèse offre une cigarette à d’Auberval assis près d’elle.
D’Auberval, allumant sa cigarette, bas à Thérèse.

Le voilà reparti.

Thérèse, bas.

Allons… Taisez-vous !