Page:Mirbeau - Trop tard !, paru dans L’Aurore, 02 août 1898.djvu/6

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— Parbleu ! on aurait cogné… Et tout serait fini aujourd’hui !

— Enfin, qu’attend-on pour cogner ?

— Il faudra bien finir par cogner !

Cogner !… Cogner !… Cogner !… On n’entendait que ce mot bref, héroïque et fraternel… C’était, je vous assure, d’une grande beauté humaine.

Et ils cogneront :

Qui donc les arrêterait de cogner ?