Page:Mirecourt - Balzac.djvu/38

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

laille même ne voulait pas se charger ; il se traîne dans les tombeaux d’Anne Radcliffe, dans les blasphèmes de Pigault-Lebrun, dans les drôleries de Paul de Kock ; il tourne incessamment dans le même cercle d’aventures vulgaires et triviales[1]. » — N’est-il pas vrai, seigneur Jules Janin ?

Cette aimable et judicieuse critique est bien de vous.

Avant l’article que nous citons, vous aviez lancé dans les jambes du père d’Eugénie Grandet beaucoup d’autres phrases

  1. Journal des Débats du 18 février 1843. On n’attaquait pas seulement Balzac au sujet de ses œuvres, on lui contestait jusqu’à son nom. « Ah ! s’écria-t-il un jour, vous prétendez que je ne descends pas des Balzac d’Entragues ? eh bien, tant pis pour eux ! »