Page:Mirecourt - Balzac.djvu/78

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à une dépravation littéraire aussi générale et aussi profonde.

À présent l’opinion le venge, oui, sans doute.

Mais vous n’êtes pas assez punis ; mais écoutez bien ce que nous allons vous dire.

Un jour viendra, ce jour est proche, où vous tomberez dans la déconsidération la plus absolue. Le public tout entier, rendu malade par votre impure cuisine, ne pourra plus ni la sentir ni la manger sans dégoût.

Voyez donc, est-ce que déjà le châtiment n’a pas commencé ?

Balzac triomphe sur son glorieux pié-