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qu’aux moines du moyen âge pour trouver le même zèle, la même assiduité, la même patience.
Il se couchait tous les soirs à cinq heures et demie, après son dîner, se levait à onze heures ou minuit, s’enveloppait du froc monacal qu’il avait adopté pour robe de chambre, et travaillait sans désemparer jusqu’à neuf heures du matin.
Son domestique François lui apportait alors à déjeuner, prenait en même temps les épreuves attendues par l’imprimeur, et Balzac, tirant sa montre, lui disait avec un sérieux imperturbable :
— Je te donne dix minutes pour porter cela à Charenton.
L’imprimerie était extra muros, et