Page:Mirecourt - Déjazet.djvu/12

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Le lendemain de la réception de cette lettre, Virginie prit la poste avec sa mère.

On la destinait à épouser, un jour, Léontine Fay dans le Mariage enfantin.

Ici commence l’ère de prospérité du Gymnase. La plume de M. Scribe ne s’arrête plus.

Messieurs les auteurs dramatiques, à cette époque, étaient animés d’une émulation merveilleuse. On créa pour nos petites actrices plusieurs jolies pièces, qu’elles interprétèrent avec une grâce naïve, un comique délicieux et une verve soutenue.

Le public ne se lassait pas d’admirer ces deux miniatures vivantes.

Déjazet partagea les bravos avec Léon-