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Page:Mirecourt - Félicien David.djvu/54

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liberté lancer des malédictions contre Achmet-Pacha le rétablirent complètement.

À Smyrne, les femmes sont adorables. Une seule chose l’emporte chez elle sur la beauté, c’est la coquetterie.

Félicien David donna des concerts. Son fidèle piano l’avait suivi dans ses excursions.

Du haut d’une terrasse dominant l’une des plus belles promenades de Smyrne, et par ces radieuses soirées d’Orient qui disposent l’âme à l’enthousiasme, il envoya de brillantes symphonies à une population privée jusque-là de jouissances musicales.

Le succès qu’il obtint ne peut se décrire.