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Page:Mirecourt - Félicien David.djvu/59

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Nous signalons ce fait à messieurs de la Faculté de médecine.

Traiter les gens par la musique serait un excellent moyen de mettre d’accord nos savant docteurs et d’apporter quelque harmonie dans leurs systèmes, infiniment trop contradictoires.

Une maladie de poitrine se guérirait peut-être par trois jours de cornet à piston.

Rien ne prouve qu’une névralgie doive résister à une heure de contre-basse, et l’attaque de choléra la plus violente céderait, nous n’en doutons pas, à vingt minutes d’ophicléide.

Qui vivra verra.

David, après avoir visité le saint sé-