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Deux jours après, article dénigrant contre l’acteur.
Celui-ci ne profère pas un mot de plainte. Il attend que le bandit reparaisse au théâtre, va d’un air tranquille à sa rencontre, salue, et lui administre, en plein foyer des artistes, la plus admirable paire de soufflets qui eût jamais retenti sur face humaine.
Grand éclat.
Le folliculaire tempête, et veut rendre outrage pour outrage.
Or, l’acteur, doué d’une puissance de muscles peu commune, prend les deux mains de notre homme dans son poignet de fer, et dit à ses camarades, témoins de l’exécution :