Page:Mirecourt - Gavarni.djvu/70

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

« Adieu, chère madame ; écrivez-moi, parlez-moi de vous et de notre Zaza.

« Voici un petit mot pour elle.

« Gavarni. »

On peut renouveler le mot d’Alfred de Musset sur Eugène Delacroix, et dire de notre héros : « Ce dessinateur a un joli bec de plume à son crayon. »

Curmer, pour sa Pléiade, demanda tout à la fois à Gavarni des esquisses et des nouvelles. L’auteur du Carnaval et des Enfants terribles écrivit une légende fantastique, appelée madame Acker[1].

  1. Le Salmigondis, collection en dix volumes in-8o, dans le genre du livre des Cent et un, renferme deux