Page:Mirecourt - Gavarni.djvu/81

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Debout contre un poteau du télégraphe électrique, Thomas Vireloque se livre au monologue suivant :

« — Y avait la parole, y a eu l’imprimerie… Misère-et-corde ! ne manquait plus que ce fil de fer du diable à la menterie humaine pour vous arriver de longueur aussi roide qu’un tonnerre ! »

Dans les Lorettes vieillies, le grand artiste donne la conclusion morale de ses premiers dessins.

Nous trouvons là des pages effrayantes et bien capables d’inspirer d’amères réflexions aux folles créatures lancées par le désordre sur la route semée de fleurs qui leur cache l’abîme.