Page:Mirecourt - Gavarni.djvu/90

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Il vient de louer une partie de sa maison à un instituteur, afin que l’éducation de ses enfants puisse être faite sous ses yeux.

On assure qu’il a congédié sa cuisinière, et qu’il se rend au réfectoire, quand sonne la cloche, pour dîner en compagnie des élèves.

L’illustre dessinateur est sage et mange très-proprement.

Sa villa d’Auteuil a des jardins immenses. Il a trouvé convenable d’acheter la plupart des petites propriétés du voisinage. Le jour où il fit l’acquisition de ces

    remarquable de M. Torlot, caissier de la maison Lemercier. Un ami de celui-ci fait offrir mille francs à l’artiste pour avoir le sien. Gavarni refuse net.