Page:Mirecourt - Gavarni.djvu/91

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terrains, il dut se rendre, pour signer l’acte, chez le notaire Leroux, rue de Grenelle.

— Gavarni !… Ah ! très-bien, je connais ce nom-là, dit l’officier public… Oui, oui !… C’est vous qui faites un tas de petites bêtises ?

Aimable appréciation de l’art, au point de vue bourgeois !

Cela dut flatter l’acquéreur.

L’opinion de M. Leroux contribua peut-être à augmenter, chez Gavarni, cette indifférence étrange qu’en tout temps on lui a connue pour ses œuvres.

On dirait que les grands artistes sont