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Page:Mirecourt - Gozlan-Champfleury, 1858.djvu/35

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mancier, je fais les stations de la Croix.

De 1843 jusqu’à ce jour, notre écrivain n’a pas négligé le livre pour le théâtre. Aristide Froissart, son roman le plus original et le plus excentrique, — les Nuits du Père-Lachaise, dont le succès fut immense, — le Dragon rouge, — les Aventures merveilleuses du prince Chènevis et de sa jeune sœur, — le Tapis vert, — les Vendages nouvelles, — la Ville des gens de bien, — la Comtesse de Bresnes, — Suzon la cuisinièrela Première Jalousie, — Trois frons pour un diadème, — et Georges III, sa dernière publication, peuvent convaincre ceux qui douteraient du talent et de la fécondité de l’auteur[1].

  1. Il serait trop long d’énumérer toutes les œuvres qu’il a produites. Cependant il est impossible de pas-