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Page:Mirecourt - Gozlan-Champfleury, 1858.djvu/5

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LÉON GOZLAN


Par un beau soir d’août, après une distribution de prix solennelle dans un pensionnat de Montmartre, un bourgeois de la rue du Temple ramenait triomphalement chez lui son fils chargé de couronnes.

On suivait le boulevard.

Arrivés à la porte Saint-Denis, nos promeneurs rencontrent des connaissances,