Page:Mirecourt - Le baron Taylor.djvu/86

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

venteurs douze cents. Cette dernière association, la plus récente de toutes, ne tardera pas à conquérir une fortune égale à la fortune de ses sœurs.

Président de toutes ces sociétés, unies entre elles par les liens les plus sympathiques, le baron Taylor les a noblement amenées au secours de la Société des gens de lettres, le jour où celle-ci fut menacée de ruine par madame George Sand.

Il a donné là un exemple de confraternité, dont le grand écrivain socialiste doit tenir note, pour apprendre, lui aussi, à mettre d’accord ses actes avec ses prédications.

Depuis ce jour, la Société des gens de lettres s’enorgueillit du patronage du baron Taylor. Toutes les infortunes littérai-