Page:Mirecourt - Méry.djvu/66

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nier, dans la maison de campagne que Méry habitait à Chatou.

Il s’agissait du cinquième acte d’un grand opéra intitulé la Fin du Monde, dont Félicien termine, en ce moment, la gigantesque partition.

Tout à coup, du choc des idées jaillit une situation musicale.

Le jeune compositeur l’approuve ; l’œil de Méry étincelle, et, sans plus de retard, là, devant nous, à course de plume, il écrit un morceau de quatre-vingt-dix vers, rhythmé, dialogué, avec l’absence la plus complète de ratures, et qui se nomme le Duo du dernier amour.

C’était surtout chez Victor Hugo, place Royale et, depuis, rue de la Tour-d’Au-