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Mais un frelon moins scrupuleux, M. Charton, s’empara de l’Âme transmise, et ne se donna pas la peine de la déguiser sous un autre titre : il mangea tout le miel de la ruche.
Ces pillages eurent lieu surtout lors de la publication des Nuits de Londres, œuvre charmante, que Méry donna au public à son retour d’un voyage qu’il fit en Angleterre avec Marie Taglioni.
Messieurs les fabricants de vaudevilles trouvent sans doute leur excuse dans cet axiome.
« On n’emprunte qu’aux riches. »
À l’époque où nous sommes, c’est-à-dire de 1842 à 1844, il y eut chez Méry un véritable débordement de séve littéraire.
Héva, la Floride, la Guerre du Nizam,