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publiées presque sans interruption, ne laissaient plus respirer les abonnés de la Presse. Cette trilogie brillante, succédant aux Mystères d’Udolphe, à l’Histoire d’une Colline et à la Famille Dherbier, amena des sacs d’or dans la caisse du journal.

Un incendie vint à éclater dans les bureaux de la Presse et réduisit en cendres les quatorze premiers feuilletons de la Guerre du Nizam.

Aussitôt les directeurs offrirent cinq mille francs à Méry pour le dédommager de cette perte.

Le poëte refusa et se mit à recommencer son œuvre.

M. Dujarrier, mort depuis si malheureusement dans un duel que la Cour d’as-