Page:Mirecourt - Méry.djvu/78

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sises a qualifié d’assassinat, lui écrivit alors :


« Mon cher Méry,

« Votre lettre me touche vivement ; mais, de votre part, les sentiments qu’elle exprime sont loin de me surprendre. Vous repoussez l’offre de Girardin, soit, puisque vous le voulez ! Mais je fais mes réserves et je ne m’explique pas. J’ai besoin d’un peu de temps.

« Tout à vous de cœur,

« Dujarrier. »


Trois mois après, un encrier magnifique, sculpté par nos premiers artistes et