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Il y reçut un accueil plein de tendresse.
Son aïeul vivait encore.
Une multitude de joyeux cousins et de charmantes cousines lui firent fête ; on lui rendit la joie, le bonheur et la gaieté.
Le poëme des Deux anges s’acheva dans cette douce retraite.
à Victor Hugo ; mais le grand poëte était absent. Dupont lui écrivit au dos d’une carte :
Si tu voyais une anémone,
Languissante et près de périr,
Te demander, comme une aumône,
Une goutte d’eau pour fleurir ;
Si tu voyais une hirondelle,
Un jour d’hiver, te supplier,
À la vitre battre de l’aile ;
Demander place à ton foyer ;
L’hirondelle aurait sa retraite,
L’anémone sa goutte d’eau :
Pour toi, que ne suis-je, ô poëte !
Ou l’humble fleur, ou l’humble oiseau !