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Il paraît que Dupont, pour exciter sa verve et continuer de soutenir la concurrence (M. Dumas en aura tous les remords !), soupait assez régulièrement au café Foy[1].
« Un matin que le jour l’avait surpris dans cette occupation, il ouvrit la fenêtre qui donnait sur le boulevard. Tout était désert encore ; à peine cinq ou six balayeurs, dispersés au coin des trottoirs, s’acquittaient-ils de leur misérable besogne.
« À l’intérieur du cabaret, des candélabres chargés de bougies éclairaient les riches débris d’un repas somptueux. Des flacons au long col roulaient éventrés sous
- ↑ Au coin de la rue de la Chaussée-d’Antin et du boulevard.