Page:Mirecourt - Pierre Dupont.djvu/79

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plus sublime de l’ode. Cela tient à ce que l’un n’a jamais touché que la corde d’un parti, tandis que l’autre tire ses vibrations du cœur même de la France.

Ne forçons point notre talent,
Nous ne ferions rien avec grâce.

Que Pierre Dupont reste le peintre aimé de la nature, le charmant paysagiste, le poëte champêtre ; qu’il achève de conquérir ses titres à la popularité, en faisant pour chaque travailleur ce qu’il a fait pour le tonnelier, le tisserand et la couturière : une chanson vive, originale, accentuée, pleine de verve, et qui est en même temps la peinture la plus fidèle et la description la plus exacte du métier.

Pan, pan, pan, pan,
Pan, pan, pan, pan,
Chasse les cercles du tonneau,