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soufflets au vendeur et à l’acheteur ; puis il les contraignit à rester à genoux pendant toute la durée du catéchisme.
Une lettre de Samson, que nous avons sous les yeux, mentionne cette particularité de son enfance.
« Je ne sais, dit-il, si de souvenir est sorti de la mémoire de mon condisciple, qui est devenu, depuis, un grave et pieux magistrat dans le département du Nord ; mais il me semble, pour ma part, que le soufflet du vicaire me brûle encore la joue. Ce prêtre avait une main de crocheteur. Ainsi, à trois années de distance, je reçus, le fouet pour avoir été trop religieux, et l’on me souffleta pour ne l’être plus assez. »
Le commerce était antipathique à tous ses goûts.
Il s’enfuit du magasin où on l’avait