Page:Mirecourt - Victor Hugo.djvu/18

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qui referma la lucarne avec un grand éclat de rire.

La batiste et les dentelles de madame Hugo furent offertes sans doute à quelque grosse paysanne des environs par son galant enfariné.

Cependant, au milieu de ces joies de famille et de ce bonheur de chaque instant, l’écrivain ne se reposait pas. La lutte que nous avons annoncée devenait imminente. Chaque jour une nouvelle attaque harcelait Victor Hugo dans sa retraite. On osait dire qu’il avait pris à Byron les cordes de son luth pour les attacher au sien. Lorsque Bug-Jargal fut publié, la troupe ennemie signala ce livre comme un pastiche