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Jamais on ne proféra plus impudent mensonge. Cette seconde maxime : « L’art pour l’art, » est une autre sottise dont, seuls, ils ont le droit de réclamer la découverte.
Malgré ces attaques de la malveillance, Victor Hugo, toujours sur la brèche, toujours luttant, toujours sûr de vaincre, ne recula pas d’une ligne dans sa route glorieuse.
Les directeurs de théâtre et les libraires assiégeaient sa porte ; on ne lui laissait aucun repos.
Gosselin, qui avait publié le Dernier jour d’un condamné, réclamait à grands cris Notre-Dame, et menaçait même, si le roman n’était pas prêt au jour convenu, de donner à l’écrivain de l’inspiration par huissier.
Victor Hugo n’habitait pas encore la