Aller au contenu

Page:Mockel - Stéphane Mallarmé, un héros, 1899.djvu/48

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 42 —

mais ce n’est là qu’une cause accidentelle. Cela éloigne avec certitude quiconque exige dans le vers lyrique des sensations précisées et la netteté des déductions, — bref, à peu près le contraire de la poésie. Pour les autres, c’est le voile d’un instant. Tout esprit doit pouvoir s’habituer à entr’ouvrir ses plis flottants ; et c’est alors la joie d’une découverte qui a tout le secret d’une confidence recueillie.