deux éléphants sur lesquels ils étaient montés derrière un palmier, et j’envoyai une déclaration de guerre aux cent cinquante abrutis de cette cité.
Comment ! cet ennemi que nos hommes sont allés combattre…
C’est moi-même… sont allés combattre, dis-tu ? Écoute, Boboli : tu sais si j’ai froid aux yeux…
Peuh !
Si je suis un gaillard…
Peuh !
Un dur-à-cuire…
Peuh !
Un troupier fini…
Peuh !
Flatteur !… En voyant les cent cinquante abrutis sortir de cette cité et faire quelques pas en tremblant, avec une lâcheté qui n’avait d’égale que celle de mes trente-deux guerriers ; en voyant mes trente-deux guerriers fuir devant ceux qui se sauvaient de leur côté, je me dis : à qui diable restera la victoire ?
Réflexion pleine de bon sens.
Flatteur !… Ne trouvant pas la réponse, et mon armée craignant