Page:Moinaux, Les Géorgiennes.djvu/8

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ALITA.
––––––La topaze est moins transparente.
ZAIDA.
––––––Le rubis est moins éclatant.
NANI.
––––––Une récolte aussi charmante,
––––––Il faut la cueillir en chantant.
reprise du chœur.
–––––––––À pleines corbeilles, etc.
MIRZA.
––––––Mais quel bruit se fait entendre ?
NANI.
––––––Ah ! c’est l’affreux Boboli.
––––––Tout le jour on le voit s’étendre
––––––En palanquin comme en son lit.

Scène DEUXIÈME.

Les mêmes, BOBOLI, en palanquin, COCOBO, Porteurs.
LES FEMMES.
––––––Quelle abominable paresse !
––––––Peut-on dormir ainsi sans cesse !


BOBOLI, descendu de son palanquin.
COUPLETS.
I.
––––––Constantinople, ô mon pays,
––––––––––Je te regrette ;
––––––Au moins, au séjour des houris,
––––––––––On est honnête !