Quoi ! vous pourriez…
voi
Je ne sais quel paquet qui doit venir pour moi.
seul, après avoir rêvé.
Qui ne s’y fût trompé ! Jamais l’air d’un visage,
Si ce qu’il dit est vrai, n’imposa davantage.
Scène 3
Du chagrin qui vous tient quel peut être l’objet ?
Moi ?
Vous-même.
Pourtant je n’en ai point sujet.
Je vois bien ce que c’est, Célie en est la cause.
Mon esprit ne court pas après si peu de chose.
Pour elle vous aviez pourtant de grands desseins :
Mais il faut dire ainsi, lorsqu’ils se trouvent vains.
Si j’étais assez sot pour chérir ses caresses,
Je me moquerais bien de toutes vos finesses.
Quelles finesses donc ?
Mon Dieu ! nous savons tout.
Quoi ?
Votre procédé de l’un à l’autre bout.
C’est de l’hébreu pour moi, je n’y puis rien comprendre.
Feignez, si vous voulez, de ne me pas entendre ;
Mais, croyez-moi, cessez de craindre pour un bien