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Page:Molière - Édition Louandre, 1910, tome 3.djvu/121

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SBRIGANI.

Quelque chose d’aimable.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

Ah ! ah !

SBRIGANI.

De gracieux.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

Ah ! ah !

SBRIGANI.

De doux.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

Ah ! ah !

SBRIGANI.

De majestueux.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

Ah ! ah !

SBRIGANI.

De franc.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

Ah ! ah !

SBRIGANI.

Et de cordial.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

Ah ! ah !

SBRIGANI.

Je vous assure que je suis tout à vous.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

Je vous ai beaucoup d’obligation.

SBRIGANI.

C’est du fond du cœur que je parle.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

Je le crois.

SBRIGANI.

Si j’avois l’honneur d’être connu de vous, vous sauriez que je suis un homme tout à fait sincère.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

Je n’en doute point.

SBRIGANI.

Ennemi de la fourberie.

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC.

J’en suis persuadé.