mains, le conin, le cul, selon son désir.
Le plaisir régnait en maître dans cette cellule ; soudain une lanterne sourde se démasqua, Finette se dressa aux regards épouvantés de Rita.
Pour la vérité de la comédie, Agathe se fourra prestement sous les draps ; Finette les retira, et, la lanterne posée à terre, les bras croisés, dit :
— En voilà du propre !
Déjà Rita à deux genoux embrassait les pans de sa chemise et murmurait :
— Grâce…
— Baise dessous, répliqua Finette se troussant, je déciderai ce que j’ai à faire.
La fillette se jeta sur le conin, le couvrit de caresses, le lécha, disant :
— Vous ne nous dénoncerez pas ! Finette se tourna, lui présenta le cul et répondit :
— Voyons, si tu marcheras aussi bien de ce côté.
Rita s’apprêtait à faire des merveilles.
— C’est bon, reprit Finette, venez toutes deux dans ma chambre, nous causerons et nous nous entendrons.
L’entente fut scellée. Finette eut deux