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Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/120

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M. Vimol était radieux !

Un si joli jeune homme !… Et bâti !… Des fesses de femme !… Et un joli petit dard !…

Le vieillard palpait les jumelles rondeurs du poëte, frottant son membre redressé contre leurs chairs roses…

Il faillait passer une soirée délicieuse…

Tous les quatre bandaient effroyablement.

L’orgie devint complète…

Le vieillard eut une idée…

S’attachant, au bas de ses vieilles fesses, un godmiché de belle taille, il annonça qu’on allait faire la chaîne anglaise…

Marius se plaça derrière Hélène, dont le cul, grand ouvert, sollicitait avec succès son beau dard amoureux.

M. Vimol enfonça sa verge dans le derrière du poëte, tandis que le godmiché qui ornait la partie postérieure de son individu, pénétrait dans le temple arrière de Suzanne qui se branlait