Aller au contenu

Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/19

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Mais oui…

— Et quand ça ?

— Tout-à-l’heure, lorsque tu étais sur le ventre de ta paysanne !…

— Eh bien ! Je t’assure qu’elles sont moins fortes que les tiennes !… Tiens regarde !

Et, se mettant à genoux, très preste, Suzanne releva ses jupes, déboutonna son pantalon, et étala sous les yeux de sa compagne, une paire de fesses, qui, pour n’être pas aussi voluptueusement développées que celles d’Hélène, n’en étaient pas moins fort agréables à contempler.

Hélène colla ses lèvres brûlantes sur leur plantureuse surface, entourant de ses beaux bras blancs, le ventre satiné de son amie… — Comme autrefois, disait-elle…

Maintenant, elles causaient, redevenues sérieuses, que Hélène en oubliât son exquise nudité, malgré les mains chercheuses de Suzanne, qui lui pelotaient toujours dans les endroits mignons…