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me faire goûter quelque jouissance… Mais tu le verras, car tu vas venir avec moi jusqu’à la ville, n’est-ce pas ?
— Y penses-tu !…
— Je crois bien… Et quelle bonne nuit je vais passer à tes côtés !… Car tu me le donneras, cette bonne nuit, n’est-ce pas ?… Ça nous rappellera les temps enfuis, lorsque nous allions nous visiter, au pensionnat… Oh ! quelles belles parties de jambes en l’air !…
— Mais je suis mariée, ma chérie !
— Pas possible… Mais cela n’empêche rien !…
— Que dirait mon mari, si je ne rentrais pas ?…
— Il dira ce qu’il voudra… Oh ! tu en es encore là, toi ! Est-ce que tu l’aimerais, par hasard ?
— Moi ? Je le déteste !
— Tu vois bien que tu as besoin de mon godmiché !… Tu verras comme je le ma-