Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/38

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placée à califourchon sur son ventre, lui présentait ses deux adorables fesses à l’orifice tiède…

Et tandis que, d’une langue savante, la malheureuse épouse léchait le petit con de Suzanne, cette dernière lui tâtait amoureusement le derrière, promenant ses lèvres dans le petit trou défendu, qu’elle baisait avec une sorte d’égarement…

La courtisane éprouva bientôt une jouissance infinie…

La langue de Suzanne s’humecta d’un sperme ruisselant, qui vint couler jusque sur les draps du lit… Et la mignonne pompait l’amoureux liquide, avalant ce jus divin, essence suprême de ce con, merveilleusement étroit ! Elle en avait la figure toute barbouillée

— À mon tour maintenant, dit-elle… Mais comme tu n’as probablement pas les mêmes goûts que moi, tu vas te placer autrement… Mets-toi sur le bord du lit, ma chérie, et