Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/57

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mirer les mollets ronds et bien faits d’Hélène, les cuisses grosses, et, tout au fond, le gros fessier, bien épanoui dans la pénombre des jupons…

— Oh ! les beaux fruits, faisait Hélène…

— C’est vrai, sont-ils gros, répliquait Raoul…

— Jamais je n’en ai vu de pareils…

— Ni moi non plus…

Et grimpant à l’échelle, il fourra sa tête sous les jupes de la jeune femme, embrassant le voluptueux fessier, qui se remuait fort agréablement…

— Voulez-vous bien finir ! s’écriait Hélène, qui, s’agitant trop fort, perdit l’équilibre et vint poser ses fesses sur le visage de Raoul…

Un barreau craqua et les deux jeunes gens roulèrent à terre, sans grand mal, car l’herbe des pelouses amortit leur chûte…

Mais Hélène avait les jupes par dessus sa tête, et très étourdie par cette dégringolade inattendue, elle oubliait de voiler la chair de