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Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/76

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Il était convaincu d’être seul à partager les faveurs de sa maîtresse ; car elle était si tiède, il la trouvait toujours si vibrante et jamais lasse !

Mais un jour, sur le boulevard, Raoul se trouva nez à nez avec Pinoskoff.

— Tiens ! comment va ?

— Ça bandilloche toujours. Et Hélène ?

— Toujours collé, mon cher. Et Suzanne ?

— Elle baise toujours avec la même élégance ?

— Venez donc me voir.

— C’est cela,

Et Pinoskoff était venu, accompagné de Suzanne.

Les deux jeunes femmes n’avaient pas tardé à reprendre leurs relations et leurs journées se passaient dans les voluptés les plus scabreuses.

Un jour que, les jupons par dessus la tête, Hélène se laissait sucer par sa volup-