tueuse compagne, Raoul entra sur la pointe des pieds, suivi de Pinoskoff, et les deux hommes cachés dans les plis des lourdes tentures, purent assister aux ébats des deux mignonnes…
Ces cuisses nues, qui s’écartaient avec tant d’art, cette odeur de foutre qui remplissait tout l’appartement, le spectacle de ces affriolantes nudités féminines, affolèrent littéralement les deux hommes…
Tous deux se précipitèrent, flamberge au vent et ces dames parurent les recevoir avec quelque plaisir…
Mais les deux hommes, excités par de trop fréquents sacrifices, ne bandaient pas…
Les mignonnes avaient beau employer tous les moyens usités en pareil cas, les membres n’avaient plus la force de se redresser…
La brune Suzanne avait placé le gros dard de son amant entre ses mamelles, et lui pelotait ardemment les couilles, tandis qu’Hé-