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Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/86

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nous pelotâmes le derrière, prenant les postures les plus choquantes…

„J’avais sorti ma verge, et la lui avais fourrée entre les fesses, les serrant l’une contre l’autre, et je te laisse à penser, ma belle, s’il me fallut beaucoup de temps pour arriver à décharger amplement…

„Quand j’eus terminé, il exécuta dans mon derrière les mêmes manœuvres que j’avais opérées sur le sien, et durant plusieurs jours et plusieurs nuits nous nous livrâmes tous deux aux mêmes exercices.

— Nous couchions ensemble, car la maison ne possédait pas assez de lits pour qu’il pût en être autrement, et je n’essaierai pas de te dépeindre les voluptés par lesquelles nous passions toutes les nuits… Nous étions toujours au cul l’un de l’autre, ne nous reposant qu’en nous suçant réciproquement notre petit fuseau, toujours raide et jamais assouvi… Et une nuit, mon cousin, sans trop savoir comment, trouva mon dard