Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/87

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à la porte du trou du cul, où j’essayais de le lui enfoncer… Sans trop de souffrance, ma pine y pénétra tout entière, de telle sorte que mes couilles seules dépassaient… Et je jouis comme je ne l’avais jamais fait encore… Il me semblait que ce cul me suçait le gland…

— Quand mon Cousin voulut goûter les mêmes voluptés, il s’aperçut qu’il avait le membre trop gros, et je souffrais tellement lorsqu’il essaya de l’enfoncer, qu’il préféra cesser ce jeu cruel et se laisser branler.

— Tu le vois, ma chérie, termina le rhétoricien, il n’y a pas que dans les pensionnats de filles où l’on apprend, de bonne heure, à approfondir les mystères des voluptés !…

Durant tout le temps que dura ce récit, Hélène se sentit impressionnée de diverses et multiples façons…

Les yeux mi-clos, elle avait devant elle la vision de ces deux enfants, qui s’enculaient avec la même passion, la même fougue que