xiv TOME II -·- LIVRE ll, _ ` I peuvent anéantir dans son existence civile. -— De plus, . e , le compromis innove ct restreint sous un autre rapport la_puissance consulaire, en transportant à deux tréso- ` riers payeurs (quœstores) élus par le peuple, la ges- _ tion de la caisse militaii·e : nommés la première fois p **7 "·`l—·C· pour l'an 307, ils furent pris dans la _noblcsse. D'ail— Ã leurs, la_ nomination des deux trésoriers dc la ville ' resta aux consuls. Ils présidèrent aussi les comices on se ' faisait l’élection des tresoriers militaires. Dans ces co» _· ` mices, se réunissaient tous les habitants patrieiens et plébéiens; le vote sc faisait par ti·ibus: concession nou- velle et remarquable faite aux citoyens de la campagne, ` r bien plus puissants dans les nouveaux comices que dans . les centuries. · _ . Enfin, et par l'el’fet d'une réforme non moins grave, . » les tribuns fu1·ent admis à prendre part aux délibérations . du Sénat. Celui—ci aurait cru ..... (p. 56, l. IG, suivez). `» XIV. I CHAPITRE llI, p. 61. I - _ Lig. M, jusquà la-page`62, Iig. 8 : remplacer par le passage et E la note quisuiveut: _ _ ..... tribunat militaire. , _ i Jadis, avoir occupé les_ hautes charges de la cité don- ` A nait droit ai d’insignes et multiples honneurs, pc1·sonnels - et héréditaires. Le triomphe, par exemple, nepouvait · être accordé qu’au fonctionnaire suprême, jamais à l’of— V ` ficier qui n’avait point revêtu Flmperiumg de même, les t descendants des magistrats curules exposaient les images des grands aïeux [jus imaginant] dans l'atrium. de la maison, et les montraient au public dans certaines oc- casions solennelles, chose qu’ils n’eussent pu faire pour ` . leurs autres ancêtres I.- Mais s`il est difficile ..... _ _ ` ‘ Au. sein même du palriciat, cette distinction entre les i· maisons · curuIes'~ et les autrestamilles a-t-elle eu, en fait, une importance
