Page:Monod - Renan, Taine, Michelet, 1894.djvu/58

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

suivant l’Écriture. Une de ses dernières paroles fut : « Soumettons-nous à ces lois de la nature dont nous sommes une des manifestations. La terre et les cieux demeurent. » Cette force d’âme, soutenue jusqu’à la dernière minute à travers des mois de souffrances continuelles, montre bien quelle était la sérénité de ses convictions et la profondeur de sa vie morale.