conditions du bail-des terres des celliers d’Alise Sainte-Reine[1].
Il tint les Grands-Jours au mois de mai dans la grande avenue du château de Saint-Remy. Plusieurs habitants qui manquèrent furent condamnés à trois francs d'amende en faveur de l’abbé[2].
Par un acte capitulaire, les religieux font défense au sire de Cormaillon d’établir un glacis sur un pré qui avait été donné par le couvent en 1293[3].
En 1774, de Vogué amodie à Tribolet de Buifon le bien de Saint-Remy, de Blaisy, de Cruchy et les bois réservés pour le four banal au prix de 4,125 francs, à condition qu’il servira la portion congrue au curé de Saint-Remy[4].
La même année il amodie également à Lazare Blandin d’Étormay, la ferme d’Étormay, la Villeneuve Darcey, Corpoyer-la-Chapelle pour 4400 francs. Cette même amodiation avait déjà été faite en 1737 par le comte Zaleusky pour la même somme[5].
En 1772, le prieur de Fontenay Canabelin, marie à Marmagne du consentement du curé, Étienne Gagneraux d’Esperenne, Écuyer, de Saulx-le-Duc avec Suzanne Vautrain, veuve de Jacques Villier de Barjon, frère de Dom Villier, moine de Fontenay. La même année Canabelin est dénoncé à Semur par un sieur Magnien, parce qu’il ne faisait plus les