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LES
RESSUSCITÉS
M. DE JOUY
Ci-gît M. de Jouy.
J’ai toujours eu un grand respect pour les grognards littéraires ; — et, si l’on veut bien m’entendre, je dirai aussi que la poésie du premier Empire a été souvent calomniée, et que ce n’est pas tout à fait cette pauvre femme en douillette cendrée qu’on a essayé de nous faire voir. J’en suis fâché pour ceux qui ne connaissent que les poésies ossianiques de Baour-Lormian et les romans de Pigault-Lebrun, — cet homme de lettres de l’Empire qui écrivait sur une scha-