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du troisième volume

Vers 17 — Athies est une petite ville du Vermandois, tout près de Péronne.

25 — Cf., sur le jeu du roy qui ne ment, Th. Wright, Anecdota literaria, 74. Il semble que ce soit un jeu dans le genre du jeu actuel des Proverbes.


Cette histoire a été remise en vers par Imbert, et nous ne connaissons pas d’imitation qui en ait été faite dans les littératures étrangères.


LXXXVI. — De Berangier au long cul, p. 252.

A. — Paris, Bibl. nat., Mss. fr. 19152, fol. 54 ro à 55 ro.

B. — Bibl. de Berne, Mss. 354, fol. 146 vo à 149 vo.


Nous empruntons les variantes du ms. de Berne à la copie de la Bibliothèque nationale (coll. Moreau, 1720, Mouchet, 46).


Traduit par Legrand d’Aussy, III, 207-213.


Vers 2 — B, Que je ai fait.

3 — B, passé a un.

4 — B, doi Deu et.

5 — g’en. B, l’an.

7 — oï. B, eu.

9 — B, Si tost que ne tarderai.

10 — B, Or oiez que je voil.

11 — A, Que li.

18 — B, Qui mout avoit et.

20 — B, Ot à monciaus.

24 — B, lo bon lignage.

25 — B, Que li. — Ce vers dans B est placé après le vers 26, qui se lit ainsi :

Et dechiet tot, et va à honte.